La foncière lyonnaise n’a pas seulement mis la main sur le grand magasin du Marais, mais sur tout un pan du quartier compris entre Rivoli, Temple, Archives et Sainte-Croix. Des murs qui, s’ils avaient été achetés seuls – hors exploitation, peu rentable actuellement –, auraient aisément dépassé les 750 M€ de valorisation. Bien des actifs concernés doivent évoluer à terme, dans quelques buts précis : améliorer la rentabilité des magasins, faire grimper les loyers en place, créer de nouveaux concepts et commercialiser les surfaces vacantes. Tour d’horizon.